Archives de catégorie : Moyen âge passion

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Dans cette rubrique, vous trouverez tous les postes qui concernent de plus près l’actualité de notre site web : projets, cuisine interne, etc.

Joyeux Noël et de joyeuses fêtes de fin d’année à tous

Bonjour à tous,

vec un peu d’avance sur le calendrier, nous vous souhaitons un joyeux Noël et de joyeuses fêtes de fin d’année 2020. Comme toujours, nous y associons une pensée particulière pour tous ceux qui traverseront cette période, en astreinte et au travail, mais aussi ceux qui la passeront de manière peut-être plus isolée qu’ils ne le souhaiteraient.

A la fin de cette année difficile et pour tout dire surréaliste par certains aspects, nous envoyons également tous nos vœux de solidarité à ceux qui ont vu leurs situations personnelles ou professionnelles dramatiquement changées pour des raisons de crise sanitaire : travailleurs, commerçants, restaurateurs, petits et moyens entrepreneurs, artistes, musiciens, personnes âgées .., La liste est, hélas, bien trop longue pour ne pas en oublier et il est temps que toute cette folie s’arrête.

carte de vœux médiévale

Malgré tout cela et autant que faire se peut, encore un Joyeux Noël et de belles fêtes de fin d’année.

Fred
Pour moyenagepassion.com
A la découverte du Moyen Âge sous toutes ses formes.

NB : l’image d’en-tête mais aussi l’enluminure ayant servi de base à cette carte de Noël est tirée d’un livre de messe daté de la fin du XVe siècle. Il s’agit du Ms 5123 ou Missel de Thomas James de la Bibliothèque municipale de Lyon

Jeu gratuit : une grille de mots croisés spéciale Moyen Âge

Bonjour à tous,

our varier un peu, nous vous proposons de tester vos connaissances en matière de monde médiéval et de langue française, avec un jeu inédit. Il s’agit d’une grille de mots croisés spécial Moyen Âge concoctée par nos soins.

Vous y trouverez de toutes petites touches de vieux français, juste assez pour vous mettre au défi ou vous faire découvrir de nouvelles choses, de manière ludique. Le niveau est normalement soutenu quoique ces choses là soient toujours relatives mais, rassurez-vous, la solution sera à portée. Si l’expérience vous plaît, nous la renouvellerons de temps à autres.

Testez vos connaissances médiévales en vous amusant

Vous trouverez ci-dessous un aperçu de cette grille de mots croisés et ses définitions mais le plus simple pour y jouer serait de l’ouvrir en PDF en cliquant sur le lien suivant.

Ouvrir nos mots croisés spécial Moyen Âge en mode PDF ici

Une fois le fichier Acrobat ouvert dans votre navigateur, vous pourrez même jouer à ces mots croisés sans avoir à les imprimer sur papier. Si vous préférez les imprimer, aucun problème, vous pourrez également le faire.

HORIZONTAL

1 Rêve d’alchimiste – Auteure/compositrice en pays d’Oc – Une fois dans la place, il y met le feu.
2 Elle enflamma Pierre – Marmite médiévale – Pour les premiers de la classe.
3 Jeu populaire aux temps médiévaux – Obtenu – Plaisir du marcheur.
4 Union Républicaine Démocratique Espagnole – Qui n’en a pas au Moyen Âge ne peut ressentir – Assista.
5 Adjectif approprié pour ces temps là – Pour le chrétien, Dieu y mourut pour nous sauver.
6 Mieux vaut éviter de tomber dessus – Peu communs.
7 Marque de désaccord – Lui – Peuple du sud de l’Europe.
8 Interjection médiévale – Philosophe qui finit prêtre par amour – Grande ouverte.
9 Ses mystères ont enflammé Paris au XIXe – Sorte de couronne. religieuse – Mal vus au Moyen Âge.
10 Assemblé – Suit ainsi à la messe.
11 Notre république – Rutebeuf conta son testament – Attaché à la terre
12 Article espagnol – Spéculation religieuse honnie au Moyen Âge.
13 Certaines occasions le font – Au Moyen Âge, il y a de la raison là où il est bon – Utile pour l’hygiène comme pour l’éclairage.
14 Elle aime tout ce qui brille – Un havre.
15 Maître de poésie médiévale– Sur Tille – La mienne – Peut être mécanique au Moyen Âge.
16 Trahir son seigneur – Nocturne, il est une nuisance.
17 Greffés – Un de nos plus grands poète médiéval.

VERTICAL

1 Marque la surprise – Musicien ambulant – Adaptée pour notre langue.
2 Franches et plurielles chez Villon – Organisation mondiale – Claquée.
3 Une façon médiévale de se moquer – Morceau et hachis de porc.
4 Toujours en vieux français – Grosse guêpe.
5 Pas de poésie sans qu’une phrase le soit – Exécuta – Possèdent.
6 Ne recule pas – Paysans en jargon médiéval – Au couvent.
7 Béryllium – Pour l’hygiène – Docteur qualifié.
8 Pour prendre son bain – Vieille forme de sortir.
9 Les autres – D’hiver ou d’Automne pas de pain sans eux – Mois en vieux français.
10 Supplice antique et médiéval – Poulie – Écoutons – Pronom personnel
11 Lui – Grand équipage – Saintes initiales – Peu brillant
12 Pareil – Permet l’usure – Peut se dupliquer en cas de schisme
13 Portions de terre – Situées – Label Bio
14 Usure bancaire moderne – Échauffée, mène à la colère – Coutume
15 Un jour comme un autre – Vaisseau – Au sommet de l’état médiéval – Petit cours d’eau en vieux français.
16 Ceci ou même cela – Virtuel ou réel on peut tourner autour – En les – Plein de lui-même.

Le lien vers la solution de cette grille de mots croisés est dans le fichier pdf du problème.

Bon jeu et un belle journée

Frédéric EFFE
Pour moyenagepassion.com
A la découverte du monde médiéval sous toutes ses formes

Hors champ : le long hiver de la Covid 19

Bonjour à tous,

A_lettrine_moyen_age_passionprès le déconfinement amorcé au courant du mois de mai et comme on l’imagine, pour bien des établissements culturels, rouvrir ses portes ne sera  pas suffisant pour que les visiteurs s’y engouffrent. Les changements drastiques effectués au Puy du Fou pour accueillir le public le démontrent. Face à la crise, il est important de continuer à marquer clairement son engagement sanitaire.  Du reste, d’autres événements suivent déjà : quelques fêtes médiévales sont prévues dans le cadre de château notamment. Nous aurons l’occasion d’en reparler. Réjouissons-nous tout en restant prudents, au regard  des mesures  à respecter puisque le  Coronavirus  2019 n’est toujours pas éradiqué.

Loin de nos considérations historiques et médiévales habituelles et pour déroger à nos habitude, ces événements autour de  LA Covid19 (les académiciens nous expliquent qu’il faut plutôt l’abréviation du virus au féminin) soulèvent quelques réflexions que nous voulions partager ici.

L’heure du confinement

Pour prendre un pas de recul  sur les premiers volets de cette crise sanitaire, tout s’est passé comme si, le vieil adage « Pour vivre heureux, vivons caché« , que certains pouvaient partager  jusque là, était devenu  par la force des circonstances : « Pour survivre, restons cloîtré« . Plus question de choix dès lors.  A l’arrivée de l’épidémie et au vu du manque de moyens, peu d’alternatives se sont ouvertes, si peu de voies ont été tracées. L’heure était au confinement : quatre syllabes pour une mesure nécessaire (pour éviter l’engorgement des hôpitaux et au moins dans les premières semaines) et qui, paradoxalement, pouvait aussi sonner un peu comme une sentence.  

 Dans les sociétés humaines, au passé comme au présent, la réclusion imposée par un état ou une institution se rattache, le plus souvent, à   des images d’enfermement punitif, de couvre-feu, de sanctions, de violences faites aux individus. Hors de ces contextes nous n’y sommes guère habitués mais si la mesure sanitaire a emporté nécessairement une privation relative de libertés,  elle était pourtant loin  d’avoir la dureté de ces symboles.  Du reste,  si certains trublions ont eu l’oreille un peu dure, les populations ont fini, globalement, par jouer le jeu.   La pire punition de ce long confinement, sera, on le sait, la violence faite à l’économie.

Quel horizon au sortir de l’abri ?

De longues semaines d’attente plus tard, si l’annonce d’un déconfinement  a sonné pour la grande majorité, comme un soulagement, en réalité, c’est une sorte de demi-sortie tiède, sans visibilité claire et sans mesures véritablement incisives qui était proposée. Au fond, ce deuxième temps d’une crise covid19  (qui n’en finit plus de ne pas finir), ressemblait plus à une version 1.01 du confinement qu’à une véritable riposte.

Pour peu,  il en venait même à prendre les dehors de ces hivers post-nucléaires tels qu’on les voit dans les films de genre : la guerre est survenue. La bombe a été lâchée. Quelque temps ont passé. Les yeux redécouvrent la lumière  du soleil, au sortir de l’abri.  C’est bon de se sentir dehors, mais cette  poussière, encore en suspension dans l’air et qui s’étire, en paillettes,  sous les rayons de l’astre du jour, est-elle encore chargée d’invisible poison  ?  Et si c’était le cas aurions-nous le moyen d’y faire face mieux que la fois d’avant ?  La seule perspective sera-t-elle le reconfinement ? Devrons-nous encore redescendre dans l’abri et à quel prix pour notre économie ? Un seule certitude, ce déconfinement, nous le savons tous, n’est pas encore  le monde d’après. Ce monde là se fera désirer. A  entendre les politiques, il n’a pas encore de dates sur le calendrier et même plus d’horizon.

Les    pandémies apocalyptiques

Bien sûr,  on nous dira que nous forçons un peu le trait en nous servant de cette imagerie apocalyptique,  mais   tout le monde en aura saisi le fond. Et puis, nous pourrons toujours rétorquer que ce n’est pas  vraiment nous qui avons commencé. Les fictions de pandémies radicales, ou même d’un monde peuplé de survivants zombies suite à des virus extra-terrestres ou de laboratoire ont, en partie, supplanté  sur nos écrans les peurs nucléaires des années 80.

Une certaine montée en épingle autour de ce Coronavirus n’est d’ailleurs sûrement pas étrangère à cela. Depuis près de 15 ans, la presse a fait ses choux gras, de chaque nouveau virus, en surfant allègrement sur cette phobie  (vache folle, grippe aviaire, Sars, etc…).  Le sensationnalisme fait lire et fait vendre, l’aubaine était irrésistible.. Aujourd’hui, de nouveaux prédicateurs viennent aussi nous expliquer qu’ils étaient les seuls à avoir annoncé cette « Apocalypse » (légèrement sur-vendue)  de la Covid, quand cette idée est dans l’air depuis des décennies déjà.  Le monde ne les avait pas attendus pour se la repasser en boucle. Du reste, au vu du mondialisme, de l’accélération de la circulation des biens et des personnes,  évidemment, que  nous n’étions pas  prêts…

Le temps de l’impuissance et des  menteries

Quoiqu’il en soit, si on n’a pas pu sortir tout à fait indemne, ni en toute tranquillité de ce long hiver de la  Covid, c’est qu’il  n’est pas encore fini.   Nul n’est besoin que de nouvelles  terreurs  nous soient servies, une partie d’entre nous est encore sous le coup  du confinement, mais plus encore sous le choc du véritable séisme (médiatique, politique, technocratique, économique) déclenché par la venue de celui qu’on a appelé outre-atlantique et dans de grands élans dramatiques : the invisible enemy.  Angoisses spontanées et légitimes auxquelles sont venues se surajouter d’autres plus manufacturées ? Oeuvre-t-on seulement à les déconstruire autant qu’on a travaillé à les échafauder ? « Comptons nos morts au quotidien », la nouvelle conception du devoir et de l’action politique, tandis que les pseudo-experts atermoient la moindre lueur d’espoir…  Au regard des chiffres  véritables, certains esprits  ont pu, après coup, se sentir quelque peu troublés.  Bien sûr qu’une action ferme était nécessaire, mais en cas d’alerte incendie, on nous avait, jusque là, tous appris à suivre le plan d’évacuation dans le calme…

Que reste-t-il ?

coronavirus-fetes-medievales-saison-2020Alors, que nous reste-t-il, aujourd’hui, sinon ce sentiment que la Covid nous a laissé de notre propre impuissance sociale face à ces formes inévitables d’hystérie médiatique, face à  ce vent  de panique qui éclatait en février et ses foules qui s’écharpaient, déjà, dans les rayons des supermarchés, face à ce manque de moyens qui, bientôt, a éclaté  au grand jour, face encore à cette technocratie médicale qui est allée jusqu’à écharper ses médecins de terrain, face enfin aux  collusions suspectées et déjà partiellement établies avec les géants de l’industrie sectorielle.

Toutes choses nauséabondes auxquelles il nous faut ajouter   les terribles ratages d’une classe politique, férue d’idéalisme supra-nationale et d’ingénierie sociale, mais si peu armée pour partir véritablement à la guerre et prendre des décisions dans le monde réel : revirements, mensonges, interdictions, demi-autorisations, ré-interdictions, ingérence sur le terrain des prescriptions médicales et finalement bannières de non responsabilité brandies hautes devant les médias ou les commissions d’assemblée. « Les masques n’ont aucun intérêt pour le grand public« , « Nous n’avons jamais manqué de masques« ,  « J’ai interdit la chloroquine parce qu’on prend trop de médicaments« .

De l’incapacité de compter jusqu’à 3

Alors, « Rien ne sera jamais plus comme avant ».    On n’a  cessé de nous le répéter, jusqu’à l’indécence mais le pire reste que nous ne sommes  toujours  pas victorieux, pas d’avantage que nous ne sommes dans l’après Covid. Depuis 7 mois, nous avons surnagé dans des  prises de décisions qui n’ont compté que jusqu’à deux, « confinement- déconfinement » avec des graduations entre les deux. Le  temps 3 de stratégies véritables pour se donner les moyens d’une victoire ferme et sans appel n’a jamais été, véritablement, posé en perspective. La phase de  retranchement du long  confinement n’a pas été mise à profit pour l’établir. En revanche, le temps 4 de la crise économique et de ses violences à venir, lui, a déjà été avancé très largement et à maintes reprises. La guerre sanitaire n’est pas encore gagnée qu’on songe à la prochaine dont on nous promet déjà que nous la perdrons certainement. Rien ne nous est décidément épargné. Dans le discours politique français des quarante dernières années,  il n’est pratiquement jamais question de sortir la tête de sous l’eau, mais toujours d’apprendre l’apnée.

C’est un fait pourtant. Les dernières nouvelles sur la possible persistance du Coronavirus, voire sur la présence d’un certain nombre de foyers de  résurgence  dans le monde, semble l’indiquer clairement : l’ennemi n’a pas été totalement défait. On est donc bien forcé d’enjoindre à la  prudence, tout en se réjouissant au constat que les pratiques sanitaires préventives s’ancrent, chaque jour, un peu plus,  dans l’espace public : port du masque, distances physiques, gestes barrière, gestes d’hygiène…

L’horizon politique dans les mains du marché

Le peuple fera sa part du contrat sanitaire comme il y a souscrit, globalement avec sagesse, au  moment du confinement. Pour autant, saura-t-on lui offrir, cette fois-ci, un horizon véritable ? Face à la  Covid 19, l’action publique a jusque là consacré son impuissance à résoudre.  Au mieux, elle n’a eu l’ambition que d’atermoyer ou de se défausser.  Alors, va-t-elle relever enfin  la tête pour gagner cette guerre sanitaire ? Quel sera le programme ? Va-t-on daigner apprendre un peu des autres et mettre en pratique les recettes qui, ailleurs, semblent  avoir fait leur preuves ? Va-t-on accélérer le dépistage massif    et traiter les malades en les isolant ?

Sommes-nous vraiment dans le pendant ou    encore dans l’avant  ? Un avant de l’attentisme, de l’ouvrir et du fermer, un avant  impuissant à mobiliser intelligemment les énergies nationales, pour mettre en place  des stratégies fortes et concertées dans la perspective de l’éradication du problème… Continuerons-nous d’assister au triste spectacle d’une classe politique suspendue à ses propres idéaux technocratiques ? Naguère, on l’a vu compter sur le réveil d’une Europe des experts qui n’a  pas répondu présente. Hier encore, elle implorait la venue miraculeuse (à l’arrière-goût de Tamiflue) du vaccin d’un Bill Gates  ou  de grands labos privés, comme une façon de nous dire : « patientez, mes  frères, l’action politique est morte, la solution viendra du marché… »

Coronavirus : aux héros de la médecine, aux malades et aux autres, et pour le confinement

Bonjour à tous,

E_lettrine_moyen_age_passionn  ces temps difficiles, nous voulions, à nouveau, envoyer   une pensée à tous les personnels de soins et de médecine qui restent, courageusement, au contact de l’épidémie.   En plus de tous ceux-là, nous tenions également à joindre une pensée pour tous ceux qui permettent que nos sociétés humaines continuent de fonctionner a minima : travailleurs du secteur privé comme fonctionnaires.

Parmi eux, un grand nombre préférerait, sans doute, rester en famille et dans le confort (même relatif quelquefois) du chez soi. Tous les efforts qu’ils déploient et tous les risques qu’ils prennent, sont  autant de raisons  de respecter, à la lettre, le confinement.

Merci encore à eux du fond du cœur.

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En Aparté

Pour le reste, une véritable inflation d’information s’est emparée de la presse, mais aussi des médias alternatifs et des réseaux sociaux depuis le début de toute cette affaire. Elle continue d’aller crescendo…  Notre intention n’est pas, ici, de nous joindre à cette cacophonie. Les avis de Pierre ou Paul qui n’y connaissent absolument rien, ne font qu’ajouter à la confusion générale. Or, ce dont nous avons plus que jamais besoin, aujourd’hui, c’est  de clarté autant que d’humilité.  Garder la tête froide…

La seule raison qui motive cette  parenthèse, hors de nos terres habituelles, est qu’en se tournant du côté des professionnels de santé, on peut trouver des informations plus objectives dont certaines peuvent nous aider à prendre les choses avec calme et raison. Dans ce lot de sources triées, un espoir est venu du côté de chercheurs chinois, suivi d’expérimentations par un  éminent professeur de médecine de Marseille. Une grande partie de ces tests semble avoir déjà donné des résultats prometteurs en terme de soins. S’il faut encore un peu de patience, en se gardant bien de toute tentation d’auto médicalisation, ces informations pourraient mettre quelques lumières dans votre journée si vous n’y avez pas encore eu accès :   Voir la vidéo du Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection.

Parenthèse    fermée.

Merci encore à tous ceux déjà mentionnés plus haut,  courage  aux confinés,  et courage également et tous nos vœux de rétablissement, à tous ceux que le  virus affecte directement et qui sont engagés dans des processus de soins.

 Une belle journée à tous.

Fred
Pour moyenagepassion.com
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