Type : musique du moyen-âge, chanson médiévale, troubadour, trouvère. folk Datation : XVIe siècle. Titre : La Complainte du Roi Renaud
Interprète:Pierre Bensusan Album : Pierre Bensusan 2 (1977)
Bonjour à tous,
ans le répertoire des musiques et chansons plus résolument folk(s) qu’authentiquement médiévales, au niveau de leur interprétation et même souvent d’ailleurs de leur datation, voici une très jolie version de la chanson du roi Renaud que le chanteur et guitariste Pierre Bensusan nous proposait dans un album de 1977.
Originaire d’Oran, où il naquit en 1957, cet artiste confirmé s’est imposé avec le temps comme un véritable virtuose de la guitare. S’il a assez tôt exploré les territoires du folk bouillonnant des années 70 , il s’est rapidement ouvert sur d’autres styles.
Avec de nombreux prix et Awards, il est considéré, à ce jour, comme l’un des plus brillants guitaristes acoustiques de sa génération dans le domaine de la World music. Il y mêle avec succès les notes Jazz à d’autres styles. Témoin d’un succès qui ne se démord pas, son agenda ne désemplit pas et on peut le retrouver en concert de l’Europe aux Etats-unis, en passant même par l’Asie et la Chine. Il fait également bénéficier les autres de son savoir et de sa maîtrise musicale de la guitare avec des séminaires et des ouvrages de méthode.
La Complainte du Roi Renaud par Pierre Bensusan
L’album Pierre Bensusan 2
En plus de la pièce du jour, on retrouve dans l’album dont elle est tirée et qui a simplement pour titre le nom de son auteur : Pierre Bensusan 2. pas moins de 10 pièces empruntées au répertoire des chansons anciennes et traditionnelles.
A ce jour, cette production est toujours éditée. Voici un lien utile pour plus d’informations: Bensusan 2 (1977). A noter que vous pouvez également retrouver l’ensemble de l’actualité de Pierre Bensusan, ainsi que cet album à l’écoute et à l’achat sur son web très complet.
La complainte du roi Renaud,
Paroles en français moderne
Le Roi Renaud de guerre revint, Tenant ses tripes dans ses mains. Sa mère était sur le créneau Qui vit venir son fils Renaud:
– Renaud, Renaud, réjouis-toi ! Ta femme est accouchée d’un roi, – Ni de ma femme, ni de mon fils Mère, je ne saurais me réjouir.
Allez ma mère partez devant; Faites-moi faire un beau lit blanc: Guère de temps n’y resterai, A la minuit trépasserai.
Mais faites-le moi faire ici bas, Que l’accouchée n’entende pas. Et quand ce vint sur la minuit Le roi Renaud rendit l’esprit.
Il ne fut pas le matin jour Que les valets pleuraient tous; Il ne fut temps de déjeuner Que les servantes ont pleuré.
– Mais, dites-moi, mère mamie Que pleurent nos valets ici ? – Ma fille, en baignant nos chevaux, Ont laissé noyer le plus beau.
– Mais pourquoi mère mamie, Pour un cheval pleurer ainsi ? Quand Renaud reviendra, Plus beau cheval ramènera.
Et dites-moi mère mamie, Que pleurent nos servantes ici ? – Ma fille, en lavant nos linceuls Ont laissé aller le plus neuf.
– Mais pourquoi, mère mamie, Pour un linceul pleurer ainsi ? Quand Renaud reviendra, Plus beau linceul on brodera.
Mais dites-moi mère mamie. Que chantent les prêtres ici ? – Ma fille, c’est la procession Qui fait le tour de la maison.
Or quand ce fut pour relever, A la messe elle voulut aller; Et quand arriva le midi, Elle voulut mettre ses habits:
– Mais dites-moi, mère mamie, Quel habit prendrai-je aujourd’hui ? – Prenez le vert, prenez le gris, Prenez le noir pour mieux choisir.
– Mais dites-moi, mère mamie, Qu’est-ce que ce noir-là signifie ? – Femme qui relève d’enfant, Le noir lui est bien plus séant.
Quand elle fut dans l’église entrée, Un cierge on lui a présenté. Aperçut en s’agenouillant, La terre fraîche sous son banc.
– Mais dites-moi, mère mamie, Pourquoi la terre est rafraîchie ? – Ma fille ne puis plus vous le cacher Renaud est mort et enterré.
– Renaud, Renaud, mon réconfort, Te voilà donc au rang des morts; Divin Renaud, mon réconfort, Te voilà donc au rang des morts !
Puisque le roi Renaud est mort, Voici les clefs de mon trésor; Prenez mes bagues et mes joyaux, Prenez bien soin du fils Renaud !
Terre ouvre-toi, terre fends-toi, Que j’aille avec Renaud mon roi ! Terre souvrit, terre fendit, Et si fut la belle engloutie
Pour plus d’éléments sur cette chanson, vous pouvez consulter l’article suivant : la complainte du roi Renaud.
Sujet : archéologie, histoire médiévale, Tintagel, château, fouilles archéologiques, roi Arthur, légendes Arthuriennes. château, royaume celte. Période : Haut Moyen Âge, Moyen Âge central. Lieu d’Intérêt : Tintagel, site archéologique d’exception, découvertes récentes Gestion du site : English Heritage
Bonjour à tous,
ujourd’hui, nous parlons un peu d’archéologie outre-manche et de Tintagel en Cornouailles, berceau des légendes Arthuriennes, mais surtout site d’exception archéologique. Nous en profitons pour aborder les les dernières découvertes en date, en examinant leurs possibles convergences avec les légendes arthuriennes.
Tintagel au Moyen Âge central
Entre presse à sensation et archéologie, le site de Tintagel est marqué du sceau indélébile de Geoffrey de Monmouth,religieux et historien anglo-normand du XIIe siècle, au service du roi Henri 1er d’Angleterrequi, dans son Historia Regum Britanniae, fit de l’endroitle lieu mythique de la naissance du Roi Arthur, enfanté par Uther Pandragon suite à un subterfuge rendu possible par l’enchanteur Merlin. Aujourd’hui, Tintagel est sans doute une des places historiques les plus visitées d’Angleterre, certainement d’ailleurs bien plus pour ses références au légendaire roi breton que pour sa réalité historique établie.
Dans les faits, le site de Tintagel héberge les ruines d’un château construit durant le Moyen Âge central et au XIIIe siècle. Sise sur un emplacement qui ne semble pas avoir « à première vue » de valeur stratégique particulière, cette forteresse n’est pourtant pas sans lien avec le Roi Arthur puisqu’on admet généralement qu’elle fut construite à cet endroit même par Richard 1er, comte de Cornouailles et frère du Roi Henri IIId’Angleterre pour mieux asseoir sa légitimité auprès des habitants de la province, en établissant l’idée d’une connexion entre sa lignée et celle du mythique souverain. C’est encore une preuve de la force des légendes arthuriennes dans l’Angleterre du Moyen Âge central.
Si la majorité des historiens contemporains conteste dans les grandes lignes, la réalité des faits du roi Arthur et de ses chevaliers, ou à tout le moins fait le constat qu’il est impossible d’en établir la véracité, au vue des documents en présence, pour les hommes de Moyen Âge, il ne faisait guère de doute que le fils de Uther Pendragon avait réellement existé et conduit nombre des exploits que les contes gallois ou les écrits de Geoffrey de Monmouth lui prêtaient.
Héritier des légendes arthuriennes
En 1225, Richard 1er de Cornouailles échangea donc avec Gervase de Tintagelses terres de Merthen contre celle de Tintagel pour y bâtir sa forteresse. Au titre des détails intéressants de l’histoire qui viennent encore renforcer ses intentions, il semble même qu’alors il fit bâtir le château dans un style architectural antérieur à celui dont il était contemporain, afin de le faire paraître plus ancien et donc finalement encore plus « Arthurien » et légitime aux yeux des populations de Cornouailles. En affichant la volonté de se situer dans l’héritage des légendes arthuriennes, le noble ne fit pas exception. Comme cité précédemment (voir article), il n’était, en effet, pas rare que les rois anglais des XIIIe et XIVe siècles se référent au légendaire héros, pour s’inscrire dans sa « lignée » ou son « esprit » comme d’autres le faisaient alors avec Charlemagne, en France. Pour que tout cela soit possible, il fallut tout de même attendre que les rois de l’île britannique « anglicisent » en quelque sorte Arthur et le « christianisent » même un peu plus, afin qu’il soit « récupérable » et « présentable ». Dans les siècles précédents le XIIIe, ce dernier incarnait, en effet, un idéal breton ou celte un peu « encombrant » pour l’élite noble anglaise. Cette dernière s’étant finalement réconciliée avec le légendaire roi de Bretagne, on se mit à revendiquer de plus en plus son héritage. De nos jours encore, l’aristocratie britannique continue quelquefois sur cette lancée, en utilisant le célèbre prénom dans le nom donné aux enfants : Prince William Arthur Philip Louis, Princes Charles Philip Arthur George.
Un château peut en cacher un autre
Pour en venir à l’archéologie sur site, la campagne de fouilles actuelle à Tintagel est conduite par l’association English Heritage depuis les années 90. Disons d’emblée que le but déclaré n’est pas – les archéologues sur place s’en défendent largement – de rechercher une quelconque corrélation entre les découvertes et les légendes arthuriennes, mais bien plutôt de mettre à jour les vestiges de bâtiments du haut Moyen Âge.
Dans les années 30, certaines fouilles avaient, en effet, permis de découvrir les traces d’édifices datant d’une période contemporaine des légendes : les Ve, VIᵉ siècles et le haut Moyen Âge. Suite à ces découvertes effectuées du début du XXe siècle, les fouilles s’étaient interrompues pour quelques décennies et, pire même, la demeure de l’archéologue qui les avait en charge ayant été détruite par des bombardements durant la deuxième guerre mondiale, les traces de ses conclusions avaient été en grande partie perdues. Quoiqu’il en soit, depuis les années 70-80, on admettait généralement que les vestiges mis à jour et les traces de bâtiments enfouis pouvaient être les restes d’une forteresse celte, et peut-être même le centre du Royaume de Dumnonia(Domnonée). A partir du IVe siècle et jusqu’au début du IXe siècle et l’invasion des saxons, cette province s’étendait de part et d’autre de la manche sur l’île britannique, mais aussi en Bretagne continentale.
« La pierre d’Arthur »
Débutée dans les années 90, la campagne de fouilles menée par l’organisme English Heritage a permis de mettre à jour une première découverte troublante dans le courant de l’année 98. Si elle ne créa pas de révolution majeure chez les archéologues, amateurs de faits avérés et peu enclins à s’échauffer rapidement, la nouvelle fit le « buzz » dans la presse anglaise. La découverte était un fragment d’ardoise plate gravée d’inscriptions. On émet l’hypothèse qu’elles furent écrites par une main gauloise et toutes ne sont pas entières mais la partie déchiffrable permet de lire : « Pater Coliavificit Artognov« . L’archéologue et historien Charles Thomas (1928-2016) de l’Université d’Exeter la traduisit ainsi : « Artognou, father of a descendant of Coll, has had this built » soit en français moderne : « Artognov (Arthnou, Arthur) père et descendant de Coll a possédé cette construction« .
La pierre a passé, avec succès, les tests de datation et on a pu ainsi la faire remonter au VIe siècle. Elle serait donc contemporaine de la période durant laquelle Arthur aurait vécu. Comme nous le disions plus haut, les historiens et archéologues ne sont jamais prompts à sauter trop rapidement sur les conclusions et se tiennent toujours dans une réserve scientifique prudente, mais certains sont tout de même plus enclins à s’enthousiasmer que d’autres. Ainsi, au moment de la découverte, quand les uns affirmaient que la seule chose que l’on puisse déduire, pour l’instant et avec certitude, de cette pierre était que le prénom « Arthur » était en usage à l’époque, mais aussi que ses inscriptions établissaient la présence d’une compétence de lecture et d’écriture en dehors du cadre religieux, le professeur et archéologue Geoffrey Wainwrightprésent sur le site se montrait, quant à lui, largement plus enthousiaste et déclarait :
« Tintagel nous a présenté la preuve de l’existence d’un prince de Cornouailles, au haut Moyen Âge (dark ages), d’un statut social élevé et qui vivait au temps où Arthur vivait. Le site nous a livré le nom d’une personne : « Arthnou ». Arthnou était ici, c’est son nom que nous retrouvons sur ce morceau de pierre. C’est tout de même assez énorme comme coïncidence, C’est là que le mythe rejoint l’histoire. C’est la découverte de toute une vie. » Geoffrey Wainwright, Arthur Stone Discovery at Tintagel
Les découvertes de 2016
En août 2016, en poursuivant les fouilles sur le site, l’équipe d’archéologues a mis à jour de nouvelles découvertes : les restes d’un mur enfoui d’un mètre d’épaisseur datée de ce même haut Moyen Âge et également de nombreux fragments de poterie et d’objets de verre qui, à l’analyse, proviennent de sites très distants : romains, anatoliens et méditerranéens notamment. L’ensemble tend à confirmer la présence sur place d’une installation de taille, peut-être même d’une forteresse « royale » qui aurait pu être, comme on le pensait depuis quelque temps déjà, le centre de la Domnonée.
De manière certaine, en tout cas, le site était le lieu de vie d’une élite, abritée derrière de hauts et solides murs de pierre dans un complexe élaboré, tant au niveau architectural que défensif. L’endroit était aussi, à l’évidence, le centre d’une forte activité commerciale. Les experts de cette période et de ce peuple celte brittonique de Domnonée avancent que ces derniers échangeaient très certainement de l’étain, et peut-être même encore des esclaves et des chiens de chasse contre ces produits élaborés d’origine lointaine et méditerranéenne (vin, huile d’olive, etc…). Plus d’informations sur la Domnonée ici ( en anglais).
Corrélations arthuriennes ?
Et Arthur dans tout ça, me direz-vous ? Et bien les bâtiments sont, encore une fois, contemporains du siècle où la légende situe le roi breton mais les archéologues restent, là encore, prudents. Si certains y cèdent volontiers, il semble tout de même que l’ensemble de la corporation voit la poursuite des légendes arthuriennes plus proche d’un film de Stephen Spielberg que d’un travail sérieux de recherche de terrain. Arthur n’est donc pas devenu leur Graal et ils se défendent, au moins officiellement, d’en poursuivre la chimère. Ils préfèrent donc se focaliser sur les informations cruciales que promettent, quoiqu’il en soit, d’apporter les fouilles de Tintagel dans les années à venir sur l’Angleterre du haut moyen âge, et sur cette période encore peu connue de son histoire qui fait suite à la chute de l’empire romain. Ajoutons que ces dernières trouvailles archéologiques ont fait de Tintagel, un site d’exception et sans doute même, l’un des plus importants d’Europe de l’ouest, sur la période du haut Moyen Âge.
Bien sûr, du côté des amateurs du mythe d’Arthur et ses preux chevaliers, chaque découverte allant dans le sens de la légende est toujours un enchantement et ces dernières trouvailles risquent de garantir encore pour longtemps la haute fréquentation du site de Tintagel.
En vous souhaitant une très belle journée.
Fred
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Sujet : poésie, littérature médiévale, réaliste, satirique, épitaphe, auteur médiéval, testament, rondeau. Période : moyen-âge tardif Titre : « épitaphe et rondeau » Oeuvre : le grand testament Auteur : François Villon (1431- ?1463)
Bonjour à tous,
oilà un peu de la poésie médiévale de Maître François Villon en forme d’épitaphe, avec un extrait de cet entêtant testament qui résonne encore jusqu’à nous. C’est la poésie de celui qui attend dans sa geôle une mort et une pendaison qu’il pense déjà certaines. Cette Camarde, il l’a tellement apprivoisée dans la solitude désespérée de sa prison qu’il s’est projeté dans son au-delà. Et ce testament, presque déjà post-mortem et qui semble quelquefois être celui d’un revenant, c’est encore un chant de détresse et de rédemption : Villon déjà mort, déjà pendu, déjà oublié, sacrifié sur l’autel de ses misères et de ses erreurs, priant pour que son âme soit sauvée et avec la sienne, les nôtres aussi un peu. Il sera relâché pourtant, pour disparaître peu après avec ses mystères sans que l’on ait jamais su ce qu’il était advenu de lui, en nous laissant, avant de partir comme un grand cri, ce testament, qui a marqué depuis la poésie au fer rouge.
Épitaphe et rondeau
Ci gît et dort en ce solier, Qu’amour occit de son raillon, Un pauvre petit écolier Qui fut nommé François Villon. Oncques de terre n’eut sillon. Il donna tout, chacun le sait : Table, tréteaux, pain, corbillon. Pour Dieu, dites-en ce verset :
Repos éternel donne à cil, Sire, et clarté perpétuelle, Qui vaillant plat ni écuelle N’eut oncques, n’un brin de persil.
Il fut rés, chef, barbe et sourcils, Comme un navet qu’on ret ou pèle. Repos éternel donne à cil.
Rigueur le transmit en exil Et lui frappa au cul la pelle, Nonobstant qu’il dît : » J’en appelle ! « Qui n’est pas terme trop subtil. Repos éternel donne à cil. François Villon – Epitaphe et rondeau
Improvisation a Cappella de G. Brassens
sur l’épitaphe de Villon.
‘est un document rare que nous partageons ici, une petite improvisation de Georges Brassens, à la faveur d’un interview, sur cet épitaphe de Villon. C’est encore une référence et un tribut de plus à ajouter au compte du grand chanteur anarchiste et non conformiste sétois du XXe, envers celui dont on fit son maître et qu’il finit par adopter. Tous les articles sur la poésie de Villon chez Brassens sont ici.
En vous souhaitant une belle journée!
Fred
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Sujet : médecine, citations médiévales, école de Salerne, Europe médiévale, moyen-âge, manuscrit ancien, saignée. calendrier Période: moyen-âge central (XIe, XIIe siècles) Titre: l’Ecole de Salerne (traduction de 1880) Auteur : collectif d’auteurs anonymes Traducteur : Charles Meaux Saint-Marc
la faveur du nouvel extrait du Flos Medicinae sur le régime au mois le mois de l’Ecole médicinale de Salerne que nous vous présentions dans l’article précédent, nous vous proposons un peu de variations graphiques autour de ce « calendrier ».
Même si les documents que l’on utilise au moyen-âge sont loin d’être tous de beaux manuscrits reliés ou même des codex, ornés de somptueuses lettrines et d’enluminures, cet art y demeure omniprésent et le monde médiéval nous a légué en témoignage de nombreuses et précieuses illustrations. Pour ceux qui auront noté les efforts que nous développons sur la partie graphique du site pour agrémenter nos articles, c’est, bien sûr, un peu de cette idée et de cette ambiance visuelle que nous tentons de recréer, pour rendre la lecture plus agréable et plus immersive de la période aussi.
Ce « calendrier » visuel du régime au mois le mois nous donne encore l’occasion de célébrer la rubrique « Médecine médiévale » que, vous l’aurez peut-être remarqué, nous venons d’ajouter comme une rubrique à part entière dans le menu catégoriel de gauche. Au fil du temps, nous y ajouterons tous les articles concernant ce sujet et sans doute même (nous y travaillons) un « herbier » médiéval.
En vous souhaitant une très belle journée !
Fred
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