Comme le disait souvent le célèbre médecin, alchimiste, astrologue et philosophe du XIIe siècle, Roger bacon :
« Soyez mignonne, Eléonor, s’il vous plait, pas trop cuits les oeufs »
Comme le disait souvent le célèbre médecin, alchimiste, astrologue et philosophe du XIIe siècle, Roger bacon :
« Soyez mignonne, Eléonor, s’il vous plait, pas trop cuits les oeufs »
oursuivons notre bestiaire médiéval fantastique, en exclusivité pour moyenagepassion.com et pour nos lecteurs*, et, bien entendu, toujours animés que nous sommes de la volonté tenace de mieux cerner tous ces êtres magiques que l’on peut pouvons croiser dans la littérature ou le cinéma dédiés au médiéval fantaisie (ou même simplement dans une forêt un peu ancienne pour certains d’entre eux). Aujourd’hui donc, nous parlons de ces merveilleuses créatures des forêts que sont les elfes et nous nous posons la question de leur « adaptabilité sociale réelle en environnement urbanisé à semi-urbanisé ». Autrement dit, sans en faire des caisses non plus, il s’agit de savoir comment les elfes arrivent plus ou moins à passer en ville, propos que nous tâcherons d’illustrer à travers une anecdote les concernant. (photo: Elrond, roi de elfes, Le Seigneur des anneaux de P. Jackson)
Notre histoire se passe donc dans un village médiéval. Trois elfes entrent dans une taverne et s’assoient à une table. La patronne s’approche et leur demande :
« – Qu’est-ce qu’on leur sert? »
Le premier elfe réfléchit longuement et finalement dit :
» – Je vais prendre un jus d’airelles bien frais avec un soupçon de coulis de mûres et si c’est possible, une à deux pincées de pollen de lys blanc, vraiment juste un peu par contre. Après, sinon, ça va être trop fort et ça va passer par dessus le goût de la mure »
Le deuxième elfe se gratte la tête, et après un moment, fait:
« – Alors, moi je vais plutôt partir sur un jus à base de romarin et de trèfles, avec un nuage d’hydromel et, si vous avez, deux ou trois petites framboises sauvages également, mais par contre là, vous vous embêtez pas, vous les mettez juste comme ça entières, avec le reste dans la chope ».
La patronne acquiesce et regarde le troisième elfe qui fait :
« – Bon du coup, moi, je vais partir sur un jus d’airelles aussi, très bonne idée ça Gwëhëndorn!, mais par contre ce qu’on va faire, on va le couper avec un bon tiers de jus de cresson sauvage et trois cuillères de miel d’acacia. Ça devrait le radoucir un peu. Ah aussi, si vous pouviez bien battre le tout pour que ce soit bien homogène, ce serait parfait ».
La femme acquiesce, retourne au comptoir où son mari, le tavernier, lui demande :
« – Alors, i veulent quoi? »
Et la femme lui répond :
« – Trois bières. »
___________________________________________________________________________PS : si vous avez un site web, une page sociale, un blog, une page FB et que vous souhaitez partager une partie des contenus écrits de notre bestiaire médiéval fantastique, merci de nous contacter avant. Ils sont tous originaux, déposés et sous copyright et nous passons du temps à les écrire avec notre petite main, cela nous ferait donc plaisir d’être crédité de leur création.
ous sommes tou-jours avec ce projet ambitieux et peut-être même un peu fou de mieux comprendre la vie des bêtes et des êtres qui peuplent l’univers du médiéval fantastique.
Aussi, aujourd’hui, conscient de l’immensité de la tâche et en exclusivité pour moyenagepassion, nous nous penchons sur la vie sociale des trolls.
C’est donc trois trolls qui entrent dans une taverne, dans un village médiéval et le tavernier leur fait :
– Comme d’habitude?
Le premier troll répond en grognant : « MeuHaaaaaaaaa! », le deuxieme hôche la tête et hurle « Beeeeuuuuhhhaaaaaaaa! ». Le troisième les regarde et fait au barman « Ouais du coup, moi aussi, je vais prendre comme eux ».
_____________________________________________________
Humour médiéval, blague moyen-âge fantastique
Sujet : médiéval fantastique, orcs, bestiaire, blague, humour médiéval, médiéval fantastique, geek culture
ans le cadre de notre découverte du bestiaire médiéval fantastique, nous abordons aujourd’hui les incontournables orcs. Nous le faisons avec une devinette qui devrait nous permettre de mieux approcher et de comprendre leur psychologie, autant que la structure leur organisation criminelle. Parler de psychologie pour des orcs, est certes ambitieux, mais il vaut mieux mettre la barre un peu haute et « Viser les étoiles pour atteindre la lune », comme dit l’adage. Bref…
– Combien faut-il d’orcs pour enlever l’enfant du seigneur?
Solution : il en faut trente. Un pour enlever et séquestrer l’enfant et vingt-neuf pour écrire la demande de rançon.
Nous aurons certainement l’occasion de parler plus avant de ces mystérieuses créatures dans le futur, mais ce premier post fera, nous l’espérons, un peu mieux toucher du doigt l’organisation sociale et criminelle complexe chez les orcs. C’était ambitieux, nous l’avions dit !
Fred
Pour moyenagepassion.com