De retour de campagne, un chevalier s’en retourne au château du roi avec des prisonniers, des sacs remplis d’or et autres somptueuses richesses. Impressionné, le souverain le fait quérir et lui demande :
« – Et bien, preux chevalier, conte-nous donc un peu de tes batailles.
– Bien, Majesté, j’ai battu les campagnes en votre nom durant des semaines, brûlant et pillant tous les villages de vos ennemis dans le nord.
– Dans le nord? Mais vous êtes cinglé! Nous n’avons aucun ennemi par là-bas!, s’exclame le roi. »
Et l’autre lui répond :
« – Heu, loin de moi l’idée de pourrir l’ambiance, Sire, mais maintenant si, du coup… »
Sujet : Projet, écriture, série humoristique médiévale, humour médiéval
Période : Moyen-âge central Média : vidéo, univers 3D fictionnel, moteur de Medieval Engineers
La Forteresse médiévale de Roqueblanche
a ville-forteresse de Roqueblanche est totalement fictionnelle et a été créée, de toutes pièces, à l’occasion d’un projet d’écriture. Ce projet consiste à réaliser une série humoristique ayant pour cadre le moyen-âge et qui se déroule dans une ville fortifiée, au début du XIIIe siècle.
Trente épisodes audio de cette série ont déjà été écrits et déposés à la société des auteurs, ayant pour cadre cet univers. On y retrouve de nombreux personnages et on peut y suivre, au fil du temps, la vie de cette forteresse et de ses habitants.
Un des lieux pivots de la série est une petite taverne brasserie de la ville, tenue par Adrien un personnage haut en couleurs. C’est un homme célibataire qui vit avec sa fille de vingt printemps, qui commence à lui causer de plus en plus de souci. On lui doit notamment la phrase suivante restée célèbre dans les annales de Roqueblanche pour sa nature hautement philosophique :
« Attention tout l’monde écoute, tout l’monde tend bien l’oreille parce que j’vais l’dire qu’une fois! J’vous préviens, le prochain qui dit qu’ma bière elle sent la pisse, j’le sors d’ici à coup de chausses dans les roustons! » Adrien, Tavernier, Roqueblanche
Bref, vous l’aurez compris, les premiers épisodes se présentent comme une galerie de portraits. Il y a bien sûr le seigneur, incorrigible fêtard et ses gens, mais il y a surtout les gens de la rue, ceux de l’ordinaire, le peuple, finalement, avec ses travers, son humour, sa tendresse, ses petites méchancetés, et toutes ces contradictions qui font de l’être humain ce qu’il est finalement.
Vidéo : présentation courte de la forteresse en Musique et en ambiance médiévale
Le lieu : les terres du Dauphiné
ien qu’elle soit fictionnelle, la forteresse se situe en terre dauphinoise, à la frontière de la Drôme des collines et de la Drôme provençale. Comme la zone est semi-montagneuse, elle pourrait se situer proche du Diois (Die, Dieulefit, ce genre d’endroit) même si encore une fois elle est totalement imaginaire.
Pourquoi ce lieu? Tout d’abord parce que c’est ma terre de naissance et que j’y suis attaché, à ses accents autant qu’à la simplicité salutaire de ses gens, et ensuite aussi parce que c’est là d’où je viens. oui, pas faux, ça sonne exactement pareil et ça fait un peu répétition mais j’avais envie d’insister.
L’époque : le moyen-âge central
‘histoire de Roqueblanche se situe en plein coeur du moyen-âge et au début du XIIIe siècle. Pourquoi? Parce que c’est un siècle que j’affectionne particulièrement et qu’ayant déjà écrit deux romans qui se passent pendant cette période médiévale, j’ai l’impression de commencer à bien la connaître. Je me situe avant les grandes épidémies de peste qui ravageront l’Europe, dans un temps ou l’on chante encore l’amour courtois et où l’on croit encore à la noble chevalerie, même si les habitants de Roqueblanche ne sont visiblement pas tous d’accord sur la question de glorifier les hommes en armure. Pour être plus précis, l’histoire se situe plutôt à partir de 1230, entre la sixième et la septième croisade.
Au fond, ce qui m’intéresse justement, c’est qu’il ne se passe rien de notable et d’ainsi pouvoir bénéficier d’une relative tranquillité et prospérité, favorable à une certaine « indolence ». Faire une série humoristique sur la peste, allez savoir pourquoi, je le sentais moyen. J’étais aussi assez attaché à l’idée de faire quelque chose de réaliste, en restant au niveau des gens, de leurs préoccupations quotidiennes et du comique qui peut ressortir des situations et des dialogues. Je voulais aussi éviter la fresque historique, hyper réaliste et documentée, non que je n’aime pas le genre, mais ce n’était simplement pas l’idée. Par ailleurs, d’autres savent le faire bien mieux que moi. Je lui préfère toujours la fiction.
La finalité du projet
êvons un peu. Dans l’idéal, la série Roqueblanche pourrait trouver sa place dans un format court et quotidien télévisuel. Dans le concret, elle a pris pour l’instant la forme de trente épisodes sonores et audio qui font en moyenne cinq minutes trente chacun. Je suis aussi en train d’explorer le moyen de la réaliser en animation de type 2D ou dessins animés, on va dire. C’est assez long à produire. Il faut créer les personnages, les décors, réaliser le montage vidéo image par image, etc… Non, rassurez-vous, je n’ai l’outrecuidance ou l’ambition de prétendre devenir Pixar à moi tout seul, mais j’espère, de cette façon au moins, partager de manière plus concrète cet univers et ces personnages, en espérant vous divertir.
En attendant d’en avoir plus à vous mettre sous la dent, je vous partage déjà dans cet article les vidéos sur les décors et ce petit monde avec un tour plus détaillé du propriétaire dans la vidéo ci-dessous. Pour le reste, promis, dès que j’ai quelque chose de prêt, je vous ferais passer une petite vidéo.
Vidéo 2 : présentation détaillée de la ville forteresse et grand tour du propriétaire
Qu’est-ce qu’on y trouve?
Comme Roqueblanche est plus une ville fortifiée qu’un simple château-fort, on y trouve représentée toute la société médiévale avec ses métiers, ses marchands, ses bâtiments, son seigneur, etc.
Les défenses de la ville et les murailles
Côté fortification, la forteresse a ses hauts murs, ses tours de garde, sa porterie, son pont-levis, sa large enceinte fortifiée avec ses créneaux, ses courtines et son long chemin de ronde. Elle a aussi ses douves sèches, son immense palais seigneurial, pour ne pas dire ostentatoire avec ses jardins et sa chapelle.
LA BASSE COUR
Échoppes, tavernes et restaurants
Côté bâtiments, on y trouve des logements pour les marchands, en général situés au dessus de leurs échoppes : boulangerie et four à pain, taverne et restaurant divers, marchand d’accessoires, de tissus, de meubles de bois, etc. On trouve également des halles de marché d’époque, ces grands bâtiments sans mur à la charpente merveilleuse qui commencent à fleurir un peu partout à partir du XIIe siècle dans les centres de village ou dans les bastides, et qui pour certain en deviennent le coeur aux côtés de l’église.
L’église
Cette dernière est bien sûr présente et a sa place centrale dans la basse cour de la ville, dans ce moyen-âge profondément imprégné de religion et de chrétienté. Entre la basse cour et la haute cour et son palais , il y a également un certain nombre de logements qui peuvent être destinée à héberger les notables, les administratifs, le pouvoir judiciaire et même les bourgeois qui existent forcément dans une ville de cette taille. Il y a encore des écuries bien sûr pour les chevaux des gens de passage.
Tribunal, cachots, potence et justice
Toujours au vue de la taille de cette ville forteresse, nous trouvons encore à Roqueblanche, un bâtiment dédié qui fait à la fois office de tribunal et de prison et dans lequel le bourreau en sous-sol déploie des trésors d’ingéniosité psychopathe pour faire dire à tous ceux qui passent entre ses mains ce qu’il a envie d’entendre. Dans ce même bâtiment, on a aussi prévu aux étages supérieurs l’hébergement d’une force armée totalement dédiée à la sécurité même de la ville, soit finalement un ancêtre des forces de polices, plutôt d’ailleurs des forces de gendarmerie pour être plus exacte puisqu’elles restent à composante militaire. Le royaume est donc en paix mais faut pas exagérer non plus.
Académie militaire : « Si vis pacem, para bellum »
Comme disait un romain que je n’ai pas vraiment connu personnellement et qui serait décédé depuis, d’après ce que j’ai compris, « si tu veux la paix, prépare la guerre ». On trouve donc entre la basse-cour et la haute cour de Roqueblanche, une académie militaire aménagée dans le premier château historique de la ville. Un deuxième palais a, en effet, été construit plus récemment à un niveau encore au dessus pour répondre aux exigences de luxe, de faste et des festins de la famille du seigneur.
Les métiers
Côté métiers, il y a aussi bien sûr, la forge et ses métiers (maréchal ferrant, forges d’outils, d’armes et d’armures), un tailleur de pierre, un boulanger, un atelier de poterie et céramique, un herboriste ou apothicaire, etc.
LA HAUTE COUR ET LE PALAIS SEIGNEURIAL
Elle contient principalement le château du seigneur qui est en réalité un véritable palais seigneurial avec sa grande salle pour festoyer, sa cave immense dans lequel le maître des lieux semble passer plus de temps qu’il ne devrait aux dires de certains au moins et encore de nombreuses pièces pour loger famille, familiers ou nobles de passage. Il y a aussi largement assez de place pour une petite armée de serviteurs et pour une large garnison rapprochée. On trouve également des jardins, une chapelle, un jeu de paume et tout un tas d’autres choses mais je ne veux pas tout dévoiler ici.
HORS LES MURS
Vilains, serfs, et zone périurbaine
A la faveur de la paix qui règne dans l’endroit et du grand développement de la ville, à défaut de pousser les murs d’enceinte, on retrouve en dehors de murs de la ville, une zone agricole bien sûr avec son moulin, son four banal, et ses fermes mais aussi un développement de type péri-urbain avec une grande zone d’accueil et d’hébergement pour tous les visiteurs extérieurs, mais aussi des premiers bâtiments d’habitation nichés à l’ombre des remparts, dont certains contiennent également des échoppes.
Champ de tournoi
Lieu Incontournable des grandes fêtes de printemps où les chevaliers les plus téméraires viennent partager leur temps entre camping sauvage et coups de lance dans les gencives ou le poitrail, Roqueblanche se devait d’avoir son champ de tournoi, et comme le dit le seigneur des lieux :
« On ne peut pas non plus passer son temps qu’à boire ou à dormir, de temps en temps, il faut bien se marrer un peu. »
Bref, voilà pour la présentation générale des lieux et du projet. D’autres informations et des choses plus concrètes suivront au fur et à mesure de nos avancées sur la réalisation!
Titre : MEDIEVAL ENGINEERS
Editeur : Keen Software Type de jeu : construction et architecture médiévale, siège de château, etc… Environnement : médiéval réaliste Mode : Solo, bac à sable, sandbox créatif ou survie et multiplayer
oilà enfin un jeu qui va vous transporter en plein coeur du moyen-âge et vous permettre, après une prise en main rapide, de pouvoir construire vos propres châteaux et forteresses, et plus encore.
De nombreuses pièces sont disponibles dans « medieval engineers », sans parler d’une communauté relativement active qui crée autour du moteur du jeu des mods* additionnels. Le jeu se passe dans un environnement 3D, architecturé sur une technologie voxel. Vous pouvez donc non seulement construire châteaux et forteresses avec force pont-levis, créneaux, tours défensives et autres hourds ou mâchicoulis, mais vous pourrez également agir sur les reliefs de la carte en creusant des douves, en créant de montagnes, des souterrains ou des mines, à l’envie.
Voici la vidéo de présentation du jeu par la société keen software:
TUTORIEL DE PRISE EN MAIN
Voici un petit tutoriel de prise en main maison pour vous présenter un peu Medieval Engineers et sa boîte à outils.
BAC A SABLE MAIS PAS SEULEMENT!
Mode Survie/Mode créatif
Outre le fait de pouvoir créer vos forteresses en mode bac à sable, Medieval Engineers vous permet également de jouer en mode survie en récoltant les ressources nécessaires à vos constructions (bois, pierre) et en devant, bien sûr, vous alimenter pour survivre. Les sous-bois sont nantis de nombreuses baies et champignons pour vous permettre de le faire.
Barbares en vue!
Si vous le souhaitez, vous pourrez également mettre à l’épreuve vos capacités de survie et la résistance de vos constructions médiévales en faisant face à des hordes de barbares qui viendront vous défier, par vagues successives.
Mode Multi
Le mode multiplayer vous permettra de jouer en mode survie mais propose également un mode Siège médiéval (Castle Siege) dans lequel vous pourrez défendre ou attaquer des forteresses à grand coups d’engins de siège, de masse ou encore d’arbalète.
INTEGRITE STRUCTURELLE
Casse réaliste des bâtiments et intégrité structurelle font une grande différence dans ce jeu puisque, si vous activez ces options, vous devrez construire vos bâtiments en respectant certaines contraintes logiques et mécaniques pour qu’ils tiennent debout!
EN BREF
i vous êtes de ceux qui sont restés sur leur faim sur les jeux de la série Stronghold, sortis il y a maintenant quelques années, attendant vainement qu’un autre jeu graphiquement acceptable donne le change, Medieval Engineers devrait vous combler.
Bien que ce jeu vidéo soit encore en Alpha, ce qui a l’avantage de le rendre accessible à petit prix et le désagrément de devoir un peu essuyer les plâtres par moments, la société Keen Software l’actualise chaque semaine avec des nouveautés ou des corrections. La communauté autour du jeu est aussi relativement active pour un titre qui n’a que quelques mois. Pour les fans de « modding »*, il y a donc aussi de quoi s’amuser. Il faut dire que Keen Sotfware a déjà, à son actif, le jeu vidéo Space Engineers qui a rencontré un grand succès; une partie de cette communauté faisant déjà confiance à la petite société d’édition tchèque a, naturellement, accordé sa confiance à Medieval Engineers.
Esthétiquement, l’environnement est convaincant, gère les modes jour/nuit, le brouillard, mais pas encore le climat, et même si l’on aimerait quelques blocs en plus mais aussi voir l’eau « procédurale » débarquer dans le jeu (elle n’est pas encore disponible et il faut se contenter pour l’instant d’eau statique), on parvient à passer des heures agréables en explorant les modes créatifs ou survie pour des forteresses qui, au final, peuvent être très réussies pour peu qu’on y passe un peu de temps.
En plus des blocs statiques de pierre ou de bois (planches, toits, murailles, créneaux, arches, portes et fenêtres, etc…), le jeu vous propose également des outils dynamiques permettant de faire des pièces mécaniques assez élaborées : rotors, poulies, rouleaux de corde, ressorts, roues, crochets, pales de moulin, etc… Avec tout cela, vous pourrez créer sans problème, pont-levis et autres mécaniques ou engins de levage mais aussi, bien entendu, engins de siège, catapulte etc… Bonne nouvelle, les trébuchets et leur force de propulsion impressionnante sont aussi disponibles.
Bon jeu donc!
Fred
moyenagepassion.com
* Modding : le modding consiste à installer en plus du noyau d’un jeu videos de petits programmes additionnels (les « mods »)visant à l’améliorer, voir même le modifier. Dans le cas de médiéval engineers, comme dans le cas de nombreux autres jeux vidéos, les mods sont développés par la communauté de joueurs gravitant autour du jeu.
La fabuleuse aventure médiévale de château Guédelon.
Architecture médiévale philippienne et châteaux forts,
Un projet ambitieux et novateur
ifficile de parler du moyen-âge sans aborder l’expérience unique à laquelle se livrent actuellement Michel Guyot et son équipe sur le site de Guédelon. Ayant en effet trouvé, à l’occasion de la restauration d’un château, un autre château enfoui du treizième siècle, Michel Guyot, le génial initiateur du projet Guédelon (voir photo ci-dessous) a décidé de reconstruire une version inspirée de ce château du XIIIe siècle, en utilisant les technologies de l’époque, tout en redécouvrant – pour ne pas dire en ré-inventant, au vue de tout ce qui s’est perdu depuis – les méthodes et les métiers autour de la construction de châteaux forts. Après quelques années d’exploitation, le site se visite presque toute l’année. L’entreprise est un succès et le chantier médiéval de Guédelon a déjà accueilli depuis son ouverture des millions de visiteurs!
Très attaché au réalisme historique, le château de Guédelon est également construit uniquement avec les moyens trouvés sur place: le bois provient de la forêt présente sur le site, les pierres d’un carrière creusée à cet effet également; on forge sur place les outils nécessaires aux différents corps de métiers, et l’on construit aussi le château, suivant les standards de l’architecture philippienne (voir plus bas dans cet article).
Les métiers du moyen-âge
autour de château Guédelon
Tous les métiers du moyen-âge, autour de la construction de châteaux forts, sont représentés à Guédelon : bâtisseurs, forgerons, menuisiers, bûcherons, cordiers, carriers, tailleurs de pierre, charpentiers, vanniers, tuiliers, teinturiers, etc…
L’architecture philippienne
Cette architecture a été inaugurée par le roi Philippe Auguste, (1165-1223), que l’on a aussi surnommé Philippe le bâtisseur, à l’occasion de la construction du Louvre. Ce roi de France est réputé avoir synthétisé ou formalisé les connaissances de l’architecture médiévale défensive, héritées de deux ans d’expérience d’enchâtellement. Il a ainsi mis en place de nouveaux standards pour les forteresses qu’il commencera à appliquer au Louvre, et qui rencontreront un vif succès au delà des frontières françaises et durant plus d’un siècle après : murs droits à créneaux, tours d’angles reliés par des courtines, donjon, porterie défensive, meurtrières ou archères. Il est notable que l’avènement de l’architecture philippienne a changé à la fois les stratégies de défense des territoires, mais également la manière de concevoir la défense d’un château.
Une expérience unique au niveau mondial
L’expérience de Guédelon est appuyée et soutenue par un grand nombre de spécialistes historiques, mais également l’Union européenne et un certain nombre d’autres parte-naires publiques. Elle est aussi louée par l’ensemble du public qui visite le site. Elle reste, à ce jour, une expérience totalement unique au niveau mondial, puisqu’elle opère finalement une fusion entre histoire, archéologie, pédagogie et architecture tout en étant une expérience actuelle mais aussi une aventure humaine extraordinaire.
Le chantier médiéval de Guédelon
Le chantier avance à grand pas. La première pierre a été posée en 1997 et l’on avait prévu que la construction complète prenne environ 25 ans. A l’époque et au XIIIe siècle, le château aurait certainement pris moins longtemps mais les techniques étaient alors connues et éprouvés alors que de nos jours il faut les retrouver en cherchant, en tâtonnant et quelquefois même les recréer de toute pièce. A la fin du chantier, on parle déjà de poursuivre l’aventure de Guédelon en construisant plus de bâtiments d’époque autour et bien sûr dans le même esprit déjà insufflé au projet par Michel Guyot et l’Association des Compagnons Bâtisseurs de Puisay qu’il a créé à l’occasion de ce projet pour le porter.
Un voyage dans les couloirs du temps
Visitez le site de Guédelon, c’est une voyage dans les couloirs du temps unique, à la rencontre d’une époque mais aussi à la rencontre de passionnés de moyen-âge. Dates d’ouverture, tarifs, avancée du chantier, photos et vidéos, Vous trouverez également plus d’informations sur le site web du château de Guedelon.
A propos de la réplique vidéo de château Guédelon
Cette vidéo qui présente ce à quoi ressemblera Guédelon une fois terminé de construire, a été réalisée avec le moteur du jeu et la boîte à outils du jeu Medieval Engineers de la société Keen Software. Vous la trouverez comme de nombreuses autres sur notre chaîne youtube dédiée au moyen-âge.
Si ce sujet vous intéresse et notamment sur la question des mâchicoulis, hourds et bretèches, nous vous conseillons également cet article sur l’architecture médiévale défensive et la vidéo qui va avec.
Merci de votre lecture et une excellente journée à vous!
Fred
Pour moyenagepassion.com
« L’ardente passion, que nul frein ne retient, poursuit ce qu’elle veut et non ce qui convient. » Publiliue Syrus Ier s. av. J.-C