Sujet : elfes, demi-elfes, JRR Tolkien, Donjon et Dragon, humour, blague, histoire audio Période : médiéval fantastique donc imaginaire
Auteur : votre serviteur Titre : deux elfes et un demi elfes à la taverne
Bonjour à tous,
ans la série « restons un peu léger » en ce dimanche d’août, nous vous proposons une nouvelle histoire audio, peut-être devrais-je dire une ânerie audio pour être plus juste. Elle s’inscrit dans notre série du Bestiaire Médiéval Fantastique. L’inspiration est clairement « donjon dragonesque » et faite de ce mélange de légendes celtiques et d’autres inspirations du genre. L’ombre du grand JRR Tolkien y plane; peut-être se tient-il embusqué derrière un arbre, sans doute un gros chêne centenaire, avec sa pipe fumante et le sourcil froncé en pensant « qu’est-ce que c’est que ce truc? ». Et, s’il est dans les parages, l’oublié de la saga du seigneurs des anneaux de Peter Jackson, le d’ordinaire jovial et chantant Tom Bombadil doit sans doute secouer sa tête de dépit à l’écoute de nos inepties. Mais qu’à cela ne tienne, puisqu’elles sont en boite, persistons et signons!
Deux elfes et un demi-elfe à la taverne
Nous approchons aujourd’hui une différence fondamentale entre les elfes, les purs, les vrais, ces merveilleux êtres de la forêt, et les demi-elfes, ces hasards de l’amour et de la création, né de l’engeance d’un elfe et d’un humain. Voilà donc l’historiette, la blagounette, mieux même, l’ânerie du jour ayant pour titre deux elfes et un demi-elfe à la taverne.
Avant d’en terminer, si vous l’avez manqué, peut-être est-il préférable d’écouter l’histoire audio suivante avant, pour mieux comprendre celle d’aujourd’hui: trois elfes à la taverne
En vous en souhaitant une bonne écoute!
Un beau dimanche à tous sous vos applaudissements! (que ceux qui ne connaissent pas la formule aillent farfouiller du côté de l’INA)
Fred
Pour moyenagepassion.com « L’ardente passion, que nul frein ne retient, poursuit ce qu’elle veut et non ce qui convient. »Publiliue Syrus Ier s. av. J.-C
Sujet : musique, monde médiéval, rôliste, médiéval fantastique, Gigue, Folk Irlandais Auteur/Compositeur : Musique irlandaise traditionnelle Interprètes :Naheulband, John Lang Titre : Ballintore Jigs (Instrumental) Album : « Machins de Taverne » (2003) Label : 7e Cercle
Bonjour à tous,
ous postons aujourd’hui un nouveau morceau de l’excellent Naheulband, le groupe musical de John Lang, auteur inspiré du donjon de Naheulbeuk, série
audio humoristique et médiévale fantastique orientée rôlistes et qui se décline aussi, depuis quelques temps, en pur jeu de rôle plateau ou papier.
Pour en revenir à la pièce instrumentale d’aujourd’hui, pas de paroles donc pour ce bel air aux accents celtiques qui est en réalité une gigue traditionnelle irlandaise dont nous n’avons pas d’éléments de datation mais que l’on doit à l’artiste irlandais Paddy Keenan d’avoir enregistré quelques années auparavant, dans les années 80. Pour autant, comme ce dernier est plutôt un musicien de cornemuse ou d’instruments à pipes, sa version était assez différente de celle de John Lang au niveau des arrangements et il faut saluer, ici, cette très belle interprétation du Naheulband qui y introduit la flûte, en nous servant cette joli mélodie entêtante sur une orchestration en béton. Cela montre bien, s’il en était besoin, que le talent de cet auteur ne se borne pas à la plume humoristique, ce qui serait déjà largement suffisant, mais, au delà, s’exerce encore totalement dans le domaine musical.
Il ne s’agit donc pas de musique issue du moyen-âge authentique mais plutôt un folk traditionnel irlandais qui réussit, à sa manière, le pari de nous y transporter. Outre le fait qu’elle nous arrive dans le cadre du médiéval fantastique très drôle de Naheulbeuk, la qualité de cette pièce vaut largement un détour aussi j’espère que vous apprécierez.
Fred
Pour moyenagepassion.coom « L’ardente passion, que nul frein ne retient, poursuit ce qu’elle veut et non ce qui convient. »Publiliue Syrus Ier s. av. J.-C
Sujet : humour médiéval, humour viking, musique, geek culture, geek Groupe : Naheulband Auteur : John Lang (le donjon de Naheulbeuk) Période : médiéval fantastique Titre :Mon ancêtre Gurdil
Un peu de musique et de medieval fantastique avec l’excellent Neuheulband
Geek un jour, Geek toujours.
Bonjour à tous,
l faut bien assumer un peu ses racines et, je pense, sans me tromper devoir compter dans les rangs de tout ceux qui tiennent quelque part de l’homme ou de la femme cavernicole avec une « Cyber touch » et que l’on appelle les « Geeks ». En tout cas, j’ai un pied dans cette culture, ça ne fait aucun doute. Pour en donner une définition, le Geek est un peu un genre d’homme des cavernes mais avec une prise dans le mur (voir cinq ou six pour les périphériques!) et une ADSL gros débit, cavernicole donc mais cyber aussi. Voici d’ailleurs un certain nombre d’arguments qui pourrait sans doute et pour partie m’identifier à un de ces êtres étranges :
1/Pour être tombé, alors encore tout jeune et innocent dans la marmite des premiers PCs et finalement ne jamais en être vraiment sorti. Oui! Je sais ce que c’est qu’un émulateur de mémoire paginée et que se battre avec un fichier .ini.
2/Pour avoir passé plus d’heures à jouer ou à tourner autour des innombrables applications ludiques, graphiques, anamorphiques, sympathiques, idiosyncratiques et même quelquefois pathétiques (y en a plein aussi) de cette carcasse de fer mystérieuse, que sur un terrain de foot d’un côté ou l’autre, gazon ou tribune ou même devant la sacro Sainte déesse télévision, sacrifiée sur l’autel des vendeurs de salades en boite et de jus lyophilisés à l’orange OGM croisée avec des têtes de sardines pour les vitamines.
3/Pour aimer les pizzas à emporter que j’ai, oui je l’avoue, trop souvent, dégusté devant mon PC. (même si avec le temps je me soigne, ça m’arrive encore).
4/Pour avoir quelques vieilles boites de jeu qui traînent encore quelque part avec des règles super compliquées que si tu sors ça devant des néophytes ou des pas geeks, ils te regardent et te disent: « tu veux pas plutôt faire un Yams ou un 4 21? » Super décevant, je sais… J’en pleurerais.
5/Pour savoir ce qu’est un D20 et avoir peint, même à mes heures, des figurines en plomb. Très entre nous, seuls ceux qui ont tenu une fois entre deux doigts un Frodon de 0,7 cm de haut avec un anneau à son cou de 2 millimètres, la langue tirée et le pinceau à un poil de l’autre main pour faire le reflet de lumière dans l’anneau unique, savent ce que ça veut vraiment dire que d’être barré. Là croyez moi, il n’est pas lourd que pour le mythique héros hobbit du seigneur des anneaux, l’anneau en question. (ci-contre sur la photo ce n’est pas Frodon. Si vous ne le savez pas vous n’êtes définitivement pas trop Geek.)
6/Pour savoir que quand un jeu de plateau a des cases hexagonales c’est pas juste pour faire joli et que même, sur les cases du Marais Maudit de Nyarladhur, y a un sale facteur de ralentissement et des saloperies de tirs de jets de dés qui peuvent te sortir des sangsues , grosse comme un bras d’enfant, qui te font perdre -2 pt de résistance si t’as pas la carte « onguent de la mort noire ». Donc à éviter quand même quoi, sauf si on n’est vraiment ultra pressé.
7/Pour sourire en coin quand on évoque le mot Donjon et Baldur, ou même tiens Mithrandir, d’un air de dire « Petit, crois moi je sais de quoi tu parles. J’en ai dézingué des squelettes et des gobelins et j’ai plus d’une boule de feu dans mon sac ».
Le Donjon de Naheubeuk de John Lang
Humour médiéval fantastique
ref, pour ça et pour encore une bonne trentaine d’autres raisons (mais on ne va pas y passer la nuit), je ressens une certaine appartenance à cette communauté humaine moderne étrange et trop souvent mécomprise, qu’on appelle les Geek. Comme on le vois, je n’ai pas appris que des conneries à l’université j’y ai aussi découvert plein de choses importantes pour la vrai vie. Bon, quelquefois, j’ai fait aussi un peu autre chose mais dans l’ensemble en mettant bout à bout les heures, il faut bien que je me rende à l’évidence. je reste adepte de la Geek Culture.
Au final, la seule chose que je ne m’explique pas c’est comment, avec tout ça, j’ai pu passé à côté de Naheulband et du donjon de Naheulbeuk du génial John Lang: série audio, chansons, romans, jeux de rôles. C’est un univers complet décliné sur de nombreux supports. Ca tient la route à tous les niveaux, écriture, musique et je me félicite en tout cas de pouvoir faire quelques sessions de rattrapage sur la question. avec notamment cette première chanson sur l’ancêtre Gurdil et ses déboires hors la mine.
D’un autre côté, tout cela me met du baume au coeur pour la série audio écrite et déjà en boite avec trente épisodes et dont je me demandais si je devais la mettre en image ou essayer de la mettre en ligne telle quelle. J’avoue que la création image par image de plus de deux heures de série audio tout seul avec mes petites mains et mes deux ou trois softs de prédilection me laisse quelquefois un peu hésitant.
Une belle journée à tous! Gardez vos points de vie et n’oubliez surtout pas de monter vos niveaux de crochetage, on ne sait jamais ce qu’on peut trouver dans un donjon, même ultra miteux.
Fred
Pour moyenagepassion.com
On a bien dit à la découverte du monde médiéval sous toutes ses formes.
ujourd’hui pour notre bestiaire médiéval fantaisie, nous allons à la découverte de Ents, ces grands arbres qui parlent et qui feront trembler le vil Saroumane dans sa tour Isengard dans la trilogie de JRR Tolkien du Seigneurs des Anneaux.
Bon, bien sûr, là encore, le devoir d’information nous commande de dire les choses telles qu’elles sont pour vraiment lever un coin du voile sur ces créatures. C’est bien le minimum que nous devons à nos lecteurs, mais attention! il faut encore ici voir l’hommage rendu parce que franchement, qu’y a-t’il de plus merveilleux qu’un ent même si bon quand même, c’est un petit peu lent… Enfin bref, n’en rajoutons pas trop parce qu’autant ça peut sembler un petit peu mou, autant une fois énervé faut quand même se pousser un peu de devant.
Excellente journée à tous!
Fred
Pour moyenagepassion.com
A la découverte du moyen-âge et du monde médiéval sous toutes ses formes et jusque dans les plus imaginaires.